21- Pouske-Minouske-Patapouske (1974) "Un argument tout simple sur lequel Albertine Deletaille pose des images d'une grâce et d'une perfection rares. Un album très réussi." "Lire"
22- Viens! (1975) "Dans cet album, aucun mot autre que le titre, et tout est poésie chaleureuse, hymne de joie familiale que ressent profondément 1e tout petit lecteur, qui lui, si vous savez l'écouter, vous racontera des heures et des heures ses impressions personnelles a propos de ces images." J. Despinette "Loisirs jeunes"
23- Des lunettes pour guillemette (1975) "Un texte précis, utile, gai pour les lecteurs de 7 ans, accompagné des images vivantes et tendres d'Albertine Deletaille : un peu floues, imprécises comme les voit le regard myope de Guillemette elles deviennent nettes et vivement colorées quand elle porte des lunettes," "Culture et bibliothèque pour tous"
24- l'Île blanche (1976) "Comme toujours avec Albertine Deletaille, nous baignons dans une vraie tendresse, sans mièvrerie, sans démagogie. Il n'est pas sans importance que nos enfants trouvent dans leurs livres d'images du bonheur car s'il n'existait pas comment avoir la force de le vouloir pour tous ?" "Raoul Dubois"
25- Ombre mon amie (1977) Sortie de presse le 20 avril 1977 Le 25e album d'Albertine Deletaille dont la démarche s'identifie si parfaitement à celle de l'éditeur par la manière de s'emparer des jeunes enfants. Pour une création graphique de tendresse, dans un univers qui réconcilie l'enfant et le monde extérieur. Ici on évoque les jeux d'une fillette avec son nombre. C'est tout simple est débordant de joie. Bernard Épin « l'École et la Nation » octobre 77
26 -- Coquin de sac (1977) dans le regard amusé et attendri qu'elles savent poser sur le monde de l'enfance, la complicité des deux auteurs est parfaite. Un exqui père Castor. Monique Bermond « l'école des parents » février 78
27 -- Hans Brinker le petit héros de Haarlem (1978) Dans un style d’illustration qui reproduit le style des bois gravés polychromes, Albertine Deletaille nous raconte les aventures (d'un enfant) dont le courage réussi à sauver la région d'une grave menace en colmatant, seul, la brèche de la digue. Le texte est simple, il explique bien sans didactisme pesant, la morale de l'histoire est évidente. Bien sûr il y a une morale : celle de la solidarité et de la nécessité de l'effort personnel (on dirait ailleurs de l'engagement). Il ne nous paraît pas, quant à nous, possible de faire de l'éducation sans cette morale là. Encore faut-il avoir le talent de donner des « leçons de morale » et Albertine Deletaille l’a au plus haut niveau. Raoul Dubois
28 -- Bataille (1979) Pour protéger ses petits, la cane habituellement douce et craintive, livre bataille aux foulque. Chaque semaine est admirablement composée illustrer. Ce petit livre de nature à la gloire de l'amour maternel peut être lue à autrefois, en feuilletant les pages, à partir de deux ans. M. Rallon « éducation et développement » juin juillet 1979
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Ce qu'en pense la presse (Suite 2) |